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 « It's where my demons hide. » ✗ Cassie.

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Cassiopea N. Williams
Cassiopea N. Williams
zepy
fidèle de la faiblesse
avatar : Luanna Perez-Garreaud.
dc : Zep', la caspergirl & Sora, la fragile petite humaine & Clara, la maladroite petite sorcière & Sy', le phénix sans cœur & Panda', la chasseuse aux couteaux & Alexie, la vampire à l'humanité unique.
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état civil : Célibataire.
profession : Pianiste de génie qui subit actuellement un blocage et vendeuse dans le magasin de musique de la ville.
MessageSujet: « It's where my demons hide. » ✗ Cassie.   « It's where my demons hide. » ✗ Cassie. EmptyLun 30 Juin - 22:39



Cassiopea Nyx Williams
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surnoms ;; Je ne suis pas une grande fan des surnoms, enfin quand il s'agit d'en donner. Ce n'est pas un domaine dans lequel je suis particulièrement douée. Pour moi, c'est autre autre, vous pouvez vous faire plaisirs, même si le plus évident reste Cass' ou Cassy ou Cassie. date de naissance ;; Premier Juillet. lieu de naissance ;; Athènes, Grèce. origines ;; Grèco-australienne. état civil ;; Mon cœur est à prendre, mais je préfère prévenir qu'il se trouve en haut de la plus grande tour et qu'il est garder par une créature peu amical. Pour résumer, je suis une célibataire dur à conquérir, car ayant connu la perte d'un amour bien trop de fois.  orientation sexuelle ;; Hétérosexuel.  profession ;; J'étais autrefois une pianiste de génie, puis, j'ai suivis des études d'histoire avant de me tourner vers le droit et finalement je ne suis plus qu'une vendeuse dans le magasin de musique de la ville. personnage ;; inventé. groupe ;; Wolwes. avatar ;; Luanna Perez-Garreaud.


— sous la surface
Je ne suis pas ce que je semble être. L'habit ne fait pas le moine est une expression qui me scier à la perfection. Sans oublier que j'ai changé aux fils des années. L'enfant rêveuse, souriante et intrépide que j'étais autrefois n'est plus. Elle a rapidement laissé place à une personne brisée qui se cache derrière un aspect rebelle et froide. Je suis à la base quelqu'un d'ordinaire, mais les épreuves de la vie ont fait de moi une personne plus complexe que celle que j'étais autrefois. J'ai perdu mon naturel pour laisser place à une façade hautaine et parfois blasée. Je n'aime pas spécialement celle que je suis devenue, si bien que depuis peu je tente de retrouver mon tempérament d'autres fois. Hélas, ce n'est pas une chose aisé. Je devrais en premier lieu oublier les fantômes de mon passé qui me hante, mais j'ai peur de ne pas réussir à m'en détacher aussi facilement que je l'espère. Le résultat n'est autre que je tente de passer outre, laissant un regard vide et une vie dénouée de sourire.

Malgré tout, je ne suis pas uniquement la personne que je semble être. Sous mes airs de rebelle, je suis davantage première de la classe. Je suis suis peut-être plus aussi curieuse qu'autrefois, mais j'apprécie m'instruire. Je suis intelligente sans être pour autant intellectuelle. Observatrice et perspicace, ma condition de louve me permet de voir ou bien ressentir des détails qui m'auraient échappé lorsque j'étais encore parfaitement humaine. Même si c'est un atout majeur, mais encore énormément de mal à m'y habituer. Mes sens sont décuplées ce qui est loin de rendre ma vie des plus simples. Les odeurs quotidiennes me donnent aisément des hauts de cœur tandis que j'ai développé une allergie au pollen. Cette incapacité flagrante à contrôler mes sens a fait de moi une personne plus distante et plus froide à l'égard des autres. La franchise dont je faisais preuve autrefois est devenue sans doute plus blessante surtout lorsque cela concerne mon odorat. On peut aisément dire que ma maladresse s'est amplifié et que faire le trie dans mes pensées pour les exprimer est une chose assez compliqué pour moi.

Indépendante est l'un des thermes qui me convient le mieux. L'autorité n'est pas réellement mon problème, mais c'est sans doute le reflet de ma louve sur ma personnalité. Je suis davantage solitaire et ce même si j'apprécie la compagnie des autres à sa juste valeur. Le fait est que je n'aime pas qu'on prenne soin de moi comme si j'étais incapable de faire quoique ce soit moi-même. Ayant passé mon enfance à prendre soin de mon père, j'ai aisément développé une certaine maturité et débrouillardise. J'ai également dû apprendre à cuisiner, même si c'était loin d'être un domaine dans lequel j'excelle. J'ai tendance à me débrouiller lorsqu'il faut suivre la recette à la lettre. D'ailleurs, j'ai un tempérament davantage protectrice que protégée.

Certes, je suis une louve solitaire, froide et parfois trop distante, mais c'est surtout  par peur de blesser encore des êtres qui me sont chères. J'ai déjà tué et je refuse de recommencer, de sentir à nouveau le goût du sang et de la chaire dans ma bouche. Pourtant, ce n'est pas quelque chose qui m'est inconnu. Cette sensation me revient en mémoire bien trop souvent à mon goût, me brisant d'autant plus mon cœur à chaque fois. Le pire étant quand l'odeur d'une viande rouge me chatouille les narines. Je peux peut-être sentir que la louve en moi en meurt d'envie, cette idée me donne davantage la nausée. J'ai tenté de devenir végétarienne, mais le résultat n'était pas vraiment celui que j'espérais et j'ai compris que ce n'était pas une bonne idée. Les cauchemars de mon passé me hantaient de plus en plus souvent faisant de moi une personne exécrable totalement accrocs à la caféine. Tout ça pour dire que je reste malgré tout quelqu'un de fidèle, loyal et solidaire. Je mets un point d'honneur à être présente pour ceux qui étaient présent pour moi. Elles se font rare et ce surtout à cause de ma méfiance naturel tout comme l'image que je peux dégager. Le regard vide, une expression parfois hautaine et un aspect taciturne. J'ai pris l'habitude de ne pas vraiment parler de moi pour éviter d'avoir à mentir. Je garde notamment une part d'ombres sur ma vie, faisant de moi quelqu'un de mystérieuse et particulièrement secrète.

Bien plus que ça, je fais souvent preuve d'un calme hors du commun. Je n'es pas comme habitude de m'énerver à la première remarque que l'on me fait, loin de là. J'ai tendance à ne pas en tenir rigueur et je n'y porte pas la moindre importance. Le regard des autres est loin d'être ma priorité. Je ne porte aucun jugement sur les autres, après c'est leur choix de voir s'ils doivent en faire autrement. Je suis assez réaliste pour me faire à l'idée que juger au premier regard et que je doute que cela change de sitôt. Pour ma part, j'aime à pensé que je fais preuve d'une certaine justice à l'égard d’autrui. Après tout, je ne sais que trop bien que les apparences peuvent être trompeuse et j'en suis un exemple.

Malgré tout, de part mon côté louve, je détiens une certaine endurance et une horreur des espaces clos. Je ressens souvent le besoin de me dépenser, notamment lors des nuits qui entourent la pleine lune. Une qualité qui peut sembler être en totale opposition avec ma personnalité d'origine ce qui me rend un peu plus complexe. J'étais loin d'être le genre à courir pour arriver à l'heure ou bien à courir tout court, mais tout à changer depuis cette fameuse nuit. Les capacités physiques mises à part, une grande partie de ma personnalité est restée la même. Je suis restée discrète, patiente et un brin ironique. Il m'arrive souvent d'être peu sérieuse dans mes propos et pourtant je limite cet aspect à ceux qui me sont plus proche. Enfin, il est aussi conseillé de prendre en compte que bien que je sois raisonnable et calme, j'ai ma part de fierté et je suis particulièrement rancunière. Avoir mon pardon n'est pas une chose aisé et surtout si la trahison est grande. Il se pourrait que je tombe dans cette idée de vengeance aussi facilement que dans la dépression. Je n'apprécie pas vraiment ça, mais il est impossible de savoir comment je pourrais réagir dans ce genre de situation.

Pour finir, il n'est pas uniquement possible de me caractériser de part mes qualités ou bien mes défauts, mais aussi grâce à mes occupations diverses. La première est celle avec laquelle j'ai passé le plus claire de mon enfance, la musique et plus précisément le piano. J'étais autrefois une virtuose de génie, j'enchaînais les concours et depuis la mort de ma mère, j'ai comme un blocage. J'ai tendance à fuir devant mon instrument fétiche. Malgré tout, je n'ai jamais réellement réussis à me décoller de mon art de prédilection, je continue à écouter de la musique nuit et jour. Il m'arrive également de chanter ou bien encore fredonner lorsque je suis seule et on a souvent décrit ma voix comme étant envoûtante. Mise à part cela, j'ai une peur panique du feu depuis le décès de ma mère.


— derrière l'écran
pseudo ;; Mind dreamer, anciennement Micaiah. âge ;; écrire ici autres comptes ;; Il ne vaut mieux pas les énumérer, ils reflèteront ma faiblesse. Mais, je peux citer le tout premier fantôme du forum, Zep'. le mot de la fin ;; Je le reconnaîs, oui... JE SUIS FAIBLE.  T_T

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Cassiopea N. Williams
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MessageSujet: Re: « It's where my demons hide. » ✗ Cassie.   « It's where my demons hide. » ✗ Cassie. EmptyLun 30 Juin - 22:40





— chapitre un
« Cassy, mon enfant, il est l'heure. » Une voix douce qui maternelle qui résonne dans la maison m'indique qu'il est grand tant pour moi de terminer ma préparation. Hélas, réveillée depuis peu, je me vois obligée d'accélérer la cadence. Je passe dans la salle de bain tandis que la demoiselle, de huit ans, que je suis termine de se préparer au vu d'un des événements les plus importants de sa vie. J'enfile précipitamment ma robe claire, bien que sobre avant de coiffer ma chevelure de feu et de placer mon pendentif fétiche en forme de croissant de lune autour de mon cou. Pour le reste, j'active le pas, oubliant d'essuyer mes lèvres après mettre brossé les dents. Un rapide détour dans ma chambre me permet d'enfiler mes chaussures avant que je dévale les escaliers avec hâte et bonheur. J'affiche mon plus grand sourire et je me poste devant ma tendre mère qui fait aussitôt les dernières vérifications. Elle sourit tendrement et chaleureusement en essuyant mon visage avec soin avant de m'avoir déposé un baiser maternel sur mon front. « Allons nous installer dans la voiture, ton père ne devrait pas tarder. » Ajoute-elle d'une voix mélodieuse avant de m'entraîner avec elle jusqu'au véhicule où nous avons aussitôt pris place. Incapable de tenir en place, mes pieds commencent à se balancer dans le vide tandis qu'un soupire m'échappe. « Il s'est encore endormis dans son atelier ?! » Demandais-je en direction de ma mère qui est assise à l'avant du véhicule. Je n'ai eu comme réponse qu'un simple sourire amusé lorsque mon père pointe enfin le bout de son nez en s'excusant de bien des manières et démarre aussitôt. La voiture démarre enfin et je n'arrive pas à masquer mon excitation, même si ce n'est peut-être pas l'émotion que je devrais ressentir à cet instant même. La panique ou la peur n'est pas quelque chose que je ressens avant de monter sur scène, mais plutôt au moment exacte où je dois faire mes preuves. Une sensation qui étrangement rend ma mélodie plus authentique. Enfin, c'est là ce que les juges des concours auxquels je participe me répète souvent. « On sera à l'heure ? » Dis-je dans un souffle en espérant ne pas arriver en retard. Heureusement, mère n'a pas tardé à apaiser mes craintes en m'assurant que tout irait bien et qu'elle a prévu une dizaine de minutes d'avance à cause de père. Une réplique qui n'a d'ailleurs pas tardé à le faire sourire, gêné.

Le trajet s'écoule tandis que le temps me donne l'impression de s'éterniser. J'ai hâte, je me sens bouillir d'impatience et ce depuis l'instant même où nous avons quitté notre rue. Heureusement, je ne tarde pas à apercevoir le conservatoire où se déroule le concours. Mon cœur se serre dans ma poitrine, mon estomac se noue et je commence doucement, mais sûrement à paniquer. C'est tremblante que je descends de la voiture avant de m'élancer d'un pas maladroit jusqu'à l'entrée des artistes où je suis obligée de me rendre seule. Je suis rapidement prise en charge, on me donne mon ordre de passage et je m'installe sans attendre dans un coin pour éviter de céder complètement à la panique. Jouant avec mes mèches, pianotant dans le vide, je tente au mieux de canaliser ce tract jusqu'à ce que le moment tant attendu arrive. « Mademoiselle Cassiopea Williams. » Je me fige sur ma chaise en entendant mon nom résonner et finalement, je décide de me lancer. Laissant une expression impassible sur mon visage, j'entre en scène, salue le public et m'installe au piano. Je ferme les yeux l'espace d'un instant,  d'un souffle, d'un battement de cils avant de déposer mes petits doigts sur les touches de l'instrument. Le silence règne dans la salle tandis que mes mains bougent naturellement sur les touches d'ivoires. Ma mélodie s’élève paisiblement dans les airs jusqu'à ne faire qu'une avec moi. Je semble oublier peu à peu le monde qui m'entoure pour me laisser uniquement guider par le doux son qui s'échappe de l'instrument. [ … ]



— chapitre deux
La pièce s'assombrit peu à peu tandis que je concentre mon attention sur le film qui passe à la télévision. Une soirée en solitaire et ce malgré la certaine réticente que j'avais pu ressentir en souhaitant une bonne soirée à mes parents. Finalement, j'ai terminé devant la télévision du salon avec pizza, boisson et pop-corn. Un repas pas vraiment conseillé pour garder la ligne, mais je doute fortement qu'un seul et unique écart me coûte jusqu'à la fin de mes jours. Cela dit, je commence doucement à douter sur mon choix de films, ou surtout de chaîne de télévision. Je regrette rapidement d'avoir choisis un film romantique à la place d'un bon film d'action et il n'a d'ailleurs pas fallu longtemps avant que je change de chaîne en mettant un programme plus intriguant sans pour autant être trop terrifiant. Piochant de temps à autre dans mon saladier de friandises, je commence à m'assoupir lentement et sans même m'en rendre compte, je sombre doucement dans les bras de Morphée. Le film semble terminé depuis longtemps tandis que je me réveille en entendant les voix de mes parents résonner dans la demeure familiale. Surprise, j'ouvre péniblement les yeux en remarquant que père me porte dans ses bras pour me ramener dans mon lit, de la même façon qu'il me portait lorsque j'étais plus jeune. Enfin, je n'ai pas tardé à retomber doucement dans mes songes et ce durant un laps de temps plus long.

« Cassie, ma chérie, réveille toi ! Ma puce. » Je ressens l'inquiétude de ma mère dans sa voix et c'est avec la plus grande difficulté que j'ouvre les yeux. « Maman ?! Qu'est-ce qu'il y a ? » Je pose cette question d'une voix faible tandis que je suis toujours à moitié endormis. Elle ne prit pas le temps de me répondre et m'agrippe avec force avant de m'entraîner dans les couloirs de la maison. Cependant, une réponse n'est aucunement nécessaire, elle m'apparaît tandis que de la fumée se fraye lentement un chemin jusqu'à mes poumons. La maison prend feu et ma mère n'a qu'une hâte, me protéger en m'extirpant de là le plus rapidement possible. Elle tousse encore en encore, mais elle semble ne pas y accorder une grande importance. Hélas, je sombre plus rapidement qu'elle, je ne tarde pas à m'écrouler sur le sol et ma respiration se fait difficile. La dernière image qui se dessine devant mes yeux est autre que mère qui me prend dans ses bras.

J'émerge lentement, ma vue toujours brouillée tente sans relâche d'apercevoir un visage familier.Ce n'est qu'une précision sur ma main qui m'indique où je veux déposer mon regard. Je peux aisément lire le soulagement sur le visage de mon père qui ne tarde pas à fondre en larmes tout en remerciant le ciel. « Cassiopea, je suis si soulagé... » Il prononce ses mots entre deux sanglots et j'esquisse un faible sourire en serrant mon étreinte sur sa main dans l'espoir de le rassurer. Je détourne aussitôt mon regard, cherchant activant une présence maternelle dans la pièce. Je repose mes yeux sur mon père, m'apprêtant à l'interroger, mais il ne m'en laisse aucunement le temps. « Je suis désolé... Elle n'a ... » Il n'en faut guère plus pour qu'un flot de larmes coule lentement sur mes joues. [...] Et ce fut ainsi que ma descente vers l'enfer commença doucement, mais sûrement.



— chapitre trois
Le regard vide, je plante ce dernier à travers la fenêtre de la salle de classe. Je détaille les passants qui passent dans la rue, ne portant aucunement attention au cours qui se déroule au même instant. Mon esprit est ailleurs et je n'arrive pas à me concentrer sur les moindres mots du professeur qui depuis de début de l'heure s'est plongé dans un cours magistral. De toute manière, l'agitation qui prend peu à peu place autour de moi m'indique que je ne suis pas la seule à rêver que ce calvaire se termine enfin. La moitié des élèves bavardes tandis que l'autre moitié semble endormis ou bien rêveuse. Il faut dire que les sciences représentent rarement la matière la plus appréciée par les élèves de cette classe. Un faible soupire m'échappe tandis que je détourne mon regard pour le déposer sur mon carnet de notes, carnet qui se trouve être couvert de notes de musiques plutôt que de notes de cours. J'ai beau avoir arrêté le piano, je n'arrive pas à me détacher complètement de cette passion et il m'arrive souvent de la regretter.

Je soupire de nouveau, passant une main maladroite dans ma chevelure. Mon regard dérive, une fois encore et l'agitation autour de moi se fait plus puissante. La fin du cours se rapproche. Certains de mes camarades commencent à ranger leur affaire, le professeur enchaîne comme si de rien était, comme si son cours nous passionne. Finalement, la sonnerie retentis, tout le monde cours hors de la classe, puis hors du bâtiment. Toujours installée sur ma chaise, je les vois à travers la fenêtre. Ils se saluent, s'embrassent plus ou moins avec passion, se frappent ou s'activent en solitaire. Et c'est dans une suite de gestes mécaniques que je suis le mouvement. Je range mes affaires, balance mon sac sur mon épaule et sors de la classe, puis du bâtiment. Je m'élance sur le trottoir d'un pas lent et nonchalant. Souhaitant mettre fin aux bruits qui m'entourent, je place un écouteur dans chacune de mes oreilles et me laisse doucement bercé par la musique qui en sort.

J'ignore ce qui m'entoure, me rends en toute tranquillité jusqu'au lieu de mon travail en mi-temps. Vendeuse dans une petite boutique de musique non-loin du lycée dans lequel j'étudie. Arrivée, je salue mon collègue et me rends aussitôt dans les réserves pour débuter la première partie de mon job sans pour autant stopper la musique qui s'écoule dans mes écouteurs. Je m'active, range et tris avec soins. Cette partie dure deux bonnes heures avant que je ne passe dans les rayonnages et à la caisse. Hélas, cette partie ne me laisse pas la possibilité de garder ma propre musique. Cela dit, je n'en fais pas une grande affaire et continue de travailler jusqu'aux alentours de vingt heures. J'active ma sortir laissant mon collègue fermer la boutique et je rentre chez moi, écoutant de la musique, une fois encore. Je marche sans grande inquiétude dans les rues à présent sombre de la petite ville australienne. Me frayant un chemin entre les personnes qui se baladent et monte dans le bus qui me ramène non-loin de chez moi.

J'entre en silence dans le petit appartement, dépose mon sac de cours dans l'entrée le temps de retirer ma veste et de mettre mon baladeur dedans. J'apporte ensuite mon sac dans le salon où mon père est affalé sur le fauteuil, ne réagissant aucunement à mon arrivée. « Je suis rentrée, pa'. » J'esquisse un sourire triste et éphémère en retirant les bouteilles d'alcool qui traîne autour de lui et me dirige vers la cuisine dans laquelle je commence à préparer le dîner. Je jette un coup d'oeil à mon père de temps en autre tandis qu'il manque de réaction et ce comme chaque jour depuis la mort de ma mère. Sa vie semble à présent dénoué de sens et ce malgré mes tentatives pour le faire réagir à autre chose qu'une dose massive d'alcool. Je pire étant les longues heures durant lesquels je les entends pleurer au milieu de la nuit. [ ... ] Tandis que la nuit s'enchaîne et que je me plonge dans mes devoirs à une heure particulièrement tardive, je réalise que la vie d'une adolescente normale est loin de celle que je vis à présent. Je me demande une fois encore, comment une personne peut autant souffrir et se laisser ainsi dépérir aux dépits des volontés de la personne qui nous a quitté.


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Cassiopea N. Williams
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MessageSujet: Re: « It's where my demons hide. » ✗ Cassie.   « It's where my demons hide. » ✗ Cassie. EmptyLun 30 Juin - 22:40





— chapitre quatre
« Cassie ... On est arrivé. » Des mots prononcés avec une certaine délicatesse avant qu'un baiser ne soit tendrement déposé sur mon front. Je me réveille en douceur, ouvre les yeux et laisse ces derniers croiser ceux de Zephyr, mon petit-ami. Il représente la personne qui m'a permis de tenir le coup après la mort de ma mère et la descente aux enfers de mon père. Il représente la personne à mes côtés qui maintient de la lumière dans mon existence et ce depuis près d'un an. Un sourire se dessine sur mon visage à cette pensée tandis que je m'extirpe de la voiture où je me suis assoupis durant le trajet. « Hey ! Les tourtereaux, vous n'allez quand même pas nous laisser faire tout le travail ! » Des mots qui m'arrachent un sourire quelque peu amusé. Zephyr agrippant ma main, on se dirige tranquillement vers le campement où nous avons décidé de passer les vacances entre ami(e)s.

Le lieu prend lentement forme tandis que Zephyr et trois autres ami(e)s montons la tente. Je récupère quelques brindilles pour le feu, laissant la tâche à l'un de mes camarades de l'allumer. J'en suis pour ma part incapable à cause de cette peur irrationnelle du feu depuis le décès de ma mère. La nuit ne tarde pas à tomber, obligeant la présence de ce feu crépitant au milieu des rondins sur lesquels nous nous sommes installés. Je me tiens aux côtés de Zephyr, profitant du séjour dont j'ai tant rêvé. Un séjour durant lequel je n'ai pas la moindre responsabilité et durant lequel je peux enfin penser à autre chose que les factures. Je regrette, certes, d'avoir dû abandonner mon père le temps d'une semaine, mais cette pause est ce dont j'ai besoin. Avoir bien plus de responsabilités qu'une adulte à l'âge de dix-sept ans et ce depuis plus de cinq ans.

Après une sourire de rires et de discussions en tous genre, j'ai rejoints les bras de Morphée. La nuit s'annonce dès lors particulièrement calme jusqu'à ce qu'un bruit étrange se fait entendre à côté de la tente en me réveillant par la même occasion. Apercevant une ombre se pavaner à l'extérieur, je réveille Zephyr endormis à mes côtés lui faisant aussitôt par de mes inquiétudes sur une présence qui me glace étrangement le sang. Il me répond que c'est certainement l'un de nos ami(e)s qui est allé se soulager dans un coin et qu'il revient tout simplement se coucher. Une théorie tout à fait possible qui est réfuté par les cries de Maia, ma meilleure amie et ceux de Nathan qui ne tarde pas à se mêler au sien. Paniquée, je tente de retenir Zephyr qui sort de la tente pour voir ce qui se passe en m'interdisant de sortir. Je commence à trembler tandis que le silence s'installe autour de moi avant d'être brisé par un nouveau cris. Je m'élance aussitôt hors de la toile de tente et me fige tandis que mes yeux dérivent d'un corps à un autre. Mes ami(e)s gisant sur le sol, ensanglantés et couvert de blessures, je ne peux pas m'empêcher d'accourir vers Zephyr qui respire à peine. « Cours... » Tel est son dernier mot déclenchant un torrent de larmes s'échappant de mes yeux et une pointe au coeur. Il s'agit également de la dernière chose que j'ai pu clairement voir. La suite s'est déroulée tellement vite que je me souviens d'une douleur atroce à la jambe avant d'être engouffré par les ténèbres. [ ... ]

J'émerge lentement des ténèbres, le corps endolorie et douloureux. C'est avec une incroyable difficulté que j'ouvre lentement les yeux. Une pression sur ma main droite me fait dériver le regard dans cette direction, apercevant mon père qui se tient là. Mon coeur se serre soudainement lorsqu'une impression de déjà-vu me traverse l'esprit. Il semble exténué et triste comme la dernière fois. « Pa'. » Je prononce ces mots d'une fois faible et enrouée. Mon père tourne aussitôt le regard qui se remplit de larmes tandis qu'il remercie le seigneur en embrassant ma main. Il me raconte finalement comment on m'a retrouvé, le miracle de ma survie après une attaque d'animal sauvage. Je pleure de nouveau et mon coeur souffre tandis que je pense à Zephyr, Maia et Nathan. Je me détourne lentement de mon père, prétextant être fatiguée. Il acquiesce et se lève pour prévenir une infirmière de mon réveil qui avait noté comme étant incertain à cause de mes blessures assez sérieuse.



— chapitre cinq
Un son strident résonne dans la pièce, me décochant un léger grognement de mécontentement avant que je retourne dans mon cocon pour y mettre un terme. Plusieurs minutes s'écoulent avant que je daigne ouvrir les yeux et m'extirper de mon lit. Déposant un à un mes pieds sur le sol glacé de l'appartement, je retiens un frisson à chacun de mes pas qui me mènent jusqu'à la cuisine. A moitié endormis, je place une main maladroite dans ma chevelure et sursaute bêtement en entendant le ronflement de mon père qui brise le silence de la pièce. Je soupire longuement à mon comportement des plus idiots, bâille avant de prendre un petit-déjeuner des plus ordinaires. Celui-ci terminé, je me prépare d'un pas nonchalant et sors en laissant le petit-déjeuner de mon père sur la table de la cuisine. Je marche tranquillement dans les rues de la ville avant de prendre le bus, puis de me rendre au lycée tout en écoutant de la musique comme chaque matin.

Les heures et les cours s'enchaînent tandis que je perds lentement l'intérêt pour les sujets abordés en cette journée des plus ordinaires. Je ne porte pas le moindre intérêt aux bavardages perpétuels de mes camarades et je tente de me concentrer. Mon regard dérive avec aisance sur ce qui se passe à l'extérieur de la salle de classe et avant même que je m'en rende réellement compte, la sonnerie retentit et ma journée de lycéenne est à présent terminée. Débute aussitôt ma vie d'adulte lorsque je quitte le grand bâtiment. Une vie dénuée de sens à mes yeux, emplit de responsabilité et de solitude. C'est donc le regard vide et les pensées occupées par la musique que je me dirige vers le lieu de mon travail à mi-temps que je commence sans plus attendre.

Mon travail achevé, je rentre aussitôt afin de m'occuper du repas de mon père. Je le salue tandis qu'il est une fois encore installé sur le canapé, entouré d'un lot de canettes de bières. Esquissant un faible sourire à mon père, je ramasse ses déchets et m'active. Le repas est calme et c'est avant la tombé de la nuit que je m'assoupis en pleine révision, installée sur mon lit. Hélas, mon sommeil tourne cours lorsque de vives douleurs me prennent dans la totalité de mon être. J'ai dès lors l'impression de brûler de l'intérieur, que chacun de mes os se fracturent avant de sombrer péniblement dans les ténèbres.

Je me réveille aux aurores, endoloris tandis que je ressens de la douleur me prendre sur tout mon corps. J'ouvre les yeux avec la plus grande difficulté, sentant un goût étrange et répugnant dans ma bouche. Finalement, je me fige devant l'atrocité du spectacle qui se dresse devant moi. La maison est dans un sale état, chaque objet semble avoir été détruit comme lors d'un cambriolage et à mes côtés, au centre de la pièce se trouve le corps inerte de mon père. Laissant dériver mon regard, horrifiée, je me rends compte que pour une raison que j'ignore, je suis nue et du sang se trouve au bout de mes doigts et sur mon visage. Je commence progressivement à paniquer et étrangement affamée par l'odeur du sang. Ayant peur de moi-même et incapable de rester auprès de mon père, j'accours dans ma chambre. Je ferme vivement la porte avant d'enfiler rapidement quelques choses et de me laisser glisser contre la porte de la pièce en laissant couler des larmes le long de mes joues. Tremblante, je me demande ce qui a bien pu se passer pour qu'une telle chose arrive... Pourquoi ai-je ainsi l'impression d'avoir du sang dans la bouche ? Tant de questions qui me font lentement sombrer. [ ... ]



— chapitre six
La Nouvelle-Orléans, une nouvelle escale dans le grand voyage que représente ma vie à présent. Une vie sans attache, sans crainte de blessées une personne que j'aime. Une vie solitaire sans l'être complètement. Une vie que je mène depuis mes dix-sept ans, depuis sept ans. Sept années de malheur à être obligé de s'attacher et de s'enfermer lorsque vient la pleine lune. Prendre la décision de mener une telle vie, loin, très loin de la ville où j'ai grandis n'a pas été simple, mais trop de choses s'y sont déroulés pour que je puisse y continuer à vivre. Le décès de mon père a été le déclencheur de toute une série d'interrogation sur ma personne, sur ce que je suis devenue. Un loup-garou. En quittant l'Australie pour les Etats-Unis, j'espérais trouver des réponses, certainement, mais surtout oublier l'horreur que j'ai commise la nuit de ma première transformation. Mais, certainement les horreurs des nuits suivantes, car même si je ne m'en souviens pas, j'ai encore cette peur d'avoir tuée qui me retourne l'estomac à chaque fois que je m'éveille le lendemain. Hélas, je me souviens encore le goût de son sang dans ma bouche, la rage et la faim qui m'a gagné à l'idée de la chaire fraîche. Je me haïs pour avoir ressentit cela et pour le ressentir encore lors de chaque pleine lune.

M'extirpant de ses pensées, je lâche un long soupire et c'est le sac sur le dos que je commence une nouvelle partie de ma vie dans cette vie qui semble pleine de mystères. Je marche d'un pas lent, prenant le temps de laisser dériver mon regard sur chaque coin de rues, chaque passant et ce comme à chaque fois que je découvre une nouvelle destination de cette envergure. Je profite de mon moment d'errance pour regarder si une annonce est collée sur l'une des vitrines, car même si je compte rester que peu de temps, un travail n'est pas de trop. Je trouve finalement un semblant d’opportunité sur la vitrine d'un magasin de musique, je comprends les coordonnées en note avant de me remettre en marche. Je continue d'errer, me mêlant doucement à la foule comme si je ne suis qu'une humaine parmi tant d'autre, même si ce n'est là qu'un mensonge.

Je m'arrête à l'un des hôtels peu cher de la ville, afin de laisser le loisirs de trouver un logement au prix raisonnable le lendemain. Je paye la chambre, remercie de propriétaire et après avoir fermé la porte je me laisse aussitôt tomber sur le lit peu confortable. Il ne m'a guère fallu bien longtemps avant que Morphée ne m'agrippe dans ses bras, me rappelant la longue marche que je viens d'effectuer.

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Haebin Parker
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MessageSujet: Re: « It's where my demons hide. » ✗ Cassie.   « It's where my demons hide. » ✗ Cassie. EmptyLun 30 Juin - 23:02

Je suis fan, l'histoire est super bien écrite, et super triste aussi
Double dose de Kinder pour toi ma Louve, tu mérites beaucoup de chocolat ♥

J'ai déjà super hâte de play avec toi !
Welcome Back comme on dit si bien =P Puis pour des persos si unique, tu peux nous en faire des milliers !
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Cassiopea N. Williams
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MessageSujet: Re: « It's where my demons hide. » ✗ Cassie.   « It's where my demons hide. » ✗ Cassie. EmptyLun 30 Juin - 23:35

Merci beaucoup pour tout ses compliments. J'espérais que ma petite dernière soit à la hauteur et ce malgré un passé assez triste en effet. ^^

Oh ! Une double dose de kinder pour une dépressive, c'est parfait ! Le chocolat, c'est le meilleur remède. XD

Encore merci, j'ai hâte de la jouer également la petite louloutte.
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MessageSujet: Re: « It's where my demons hide. » ✗ Cassie.   « It's where my demons hide. » ✗ Cassie. EmptyMar 1 Juil - 7:35

La faiblesse c'est le bien ! La faiblesse est mère de toutes les vertus. La faiblesse est le berger qui mènera le troupeau. La faiblesse apportera rédemption et paix intérieure. La faiblesse est signe de richesse.
Bref, je ne peux que te féliciter d'être une excellente membre du gang des "Résister ? Mais pourquoi faire ?"
But why Zephyr is dead ?  « It's where my demons hide. » ✗ Cassie. 846662309 Va savoir pourquoi, c'est la mort que je retiens le plus, ça doit être mon côté bisounours love de la love ahah.
Re-welcome jeune padawan ! Cours, vole savourer ce nouveau perso !
J'suis tellement solidaire que j'te valide avec ma dernière faiblesse inscrite ahah.



tu l'as fait coco!
un comme toi vaut mieux que deux tu l'auras


On t'avais donné un canif et trois bouts de bambous et tu l'as bâti ton centre commercial!! Tu peux être fier de toi Benoit et après une petite pause au bord de la piscine avec Jeanine, il faudra pourtant que tu reviennes en force parce que ce n'est pas fini. Longue est l'aventure qui débute en ce Saint jour et il te reste encore tant de choses à faire. Tout d'abord, parce que nous savons que tout être surnaturel... ou pas!... qui se respecte a besoin d'un bon entourage pour bien évoluer dans la vie... ou la non-vie, va vite créer ton répertoire de relations afin qu'on puisse se lier à toi et ne plus jamais te laisser partir! Pour ce faire, n'hésite pas à utiliser nos petits modèles faits sur mesure pour nos décors ;)

Mais ce n'est pas fini ma petite Lily! Il se passe tellement de choses par ici que ce serait mieux pour toi de rester toujours à la page en surveillant de près ce qui se passe sur la bouche de l'enfer, parce que d'une façon ou d'une autre, tu peux mettre ton grain de sel dans nos vies. Même s'il s'agit uniquement de faire venir ta tante Marguerite au pays, sache que ta contribution sera grandement appréciée.
Et entre tout ça, n'oublie pas de nous signaler toute absence prolongée parce qu'on ne voudrait pas t'enterrer avant ton temps Bertrand =/ En plus, quand tu reviendras de ton voyage, tu auras tout le loisir de venir  te relooker un brin. Sur une note plus écolo, agit de manière responsable et apporte nous tes déchets question qu'on puisse les jeter au bon endroit!
Et pour finir, petit appel aux Harry Potter et genres étranges de ce monde, vous êtes priés de venir faire un petit tour par ici pour un meeting parfaitement anonyme!

Soit le bienvenue chez-nous mon petit loup et si tu as le moindre problème, n'hésite pas à faire le 1-800-staff qu'on puisse te venir en aide du mieux que nous le pourrons!

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Philip J. Cooper
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MessageSujet: Re: « It's where my demons hide. » ✗ Cassie.   « It's where my demons hide. » ✗ Cassie. EmptyMar 1 Juil - 9:34

La faiblesse c'est toujours bien!
Heureusement que t'es là pour le faire avec nous autrement avec le cookie on passerait pour deux cinglés o.o

Ouais, parce que tout le monde sait qu'à trois avoir 30 persos chacun devient tout à fait légitime XD
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MessageSujet: Re: « It's where my demons hide. » ✗ Cassie.   « It's where my demons hide. » ✗ Cassie. EmptyMar 1 Juil - 10:09

Shay ~ Avec cette vision de la faiblesse, j'ai encore moins de regret à craquer aussi facilement. XD D'ailleurs, le club porte très bien son nom, pourquoi résister ?
C'est vrai que c'est aussi la mort qui me marque le plus dans mon histoire....
& Merci, maître yoda.

Lip ~ Oui, la faiblesse est plus acceptable lorsqu'elle est pratiquée en groupe apparemment. XD
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